Le stublog de daniel-h


un Real déjà record !

14/11/2007 11:04
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Pour ceux qui attendaient le retour du Grand Real, c'est peut-être pour cette année.

En tous les cas, le début de saison de la Maison Blanche le laisse penser : avec 28 points en 12 journées, c'est tout simplement le meilleur début de championnat de l'Histoire du club !

Si le Real parvient à garder ce rythme, le club a de bonnes chances de remporter la Liga pour la 2ème année consécutive.

Robinho : "mon rêve est d'être le meilleur"

08/11/2007 20:50
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Transfiguré. C'est le qualificatif qui colle le mieux à Robinho. Depuis son retour de la Copa America, le Brésilien a pris une nouvelle dimension dans l'effectif madrilène. Une dimension planétaire.

Répondant à Predrag Mijatovic, l'ex-star du football yougoslave, et à sa déclaration d'amour (« Robinho est le meilleur joueur au monde »), Robinho s'est enthousiasmé et a rétorqué : « mon rêve est bien d'être le meilleur ». Quel aplomb chez ce jeune homme de 23 ans. La marque des très grands sans doute. Dans les colonnes de Marca, la star brésilienne est revenue sur ce début de saison tout feu, tout flammes. « Le style de Bernd Schuster me convient bien mieux. Quant à ce début de saison, je suis enchanté par mes deux derniers matches notamment. Je me sens bien dans cette équipe et j'espère être à la hauteur des espoirs placés en moi ».

Déjà trois buts en neuf matches ( Liga et LDC confondus). L'ailier gauche du Real de Madrid enchante les foules de Santiago Bernabeu. Finisseur, dribbleur, agitateur. L'enfant de Sao Vicente cumule les attributions. À 23 ans, il a enfin franchi un palier.
Ce week-end encore, Robinho a été magique. Gratifiant les quelques 48 000 spectateurs de Bernabeu de quelques gestes techniques de haute voltige, l'ailier gauche a écoeuré l'adversaire du soir. Le Deportivo la Corogne aura finalement cédé en seconde période sous l'enthousiasme de Raul (70ème) et de... Robinho (89ème). De très bon augure dans un championnat que les Madrilènes dominent de la tête et des épaules. Un nul et une défaite en neuf rencontres pour vingt buts marqués.

Loin de ses galactiques, les hommes de la Maison-Blanche, Robinho, en tête, ne semblent pas avoir perdu de talent. Bien au contraire.

Real Madrid : un an plus tard, Higuain l'Argentin garde le cap

01/11/2007 21:32
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Entre l'Argentine et la France, le coeur de Gonzalo Higuain chavirait. C'était il y a tout juste un an. "L'affaire Higuain" avait alors soulevé les passions autant qu'elle avait réveillé les vieilles rancoeurs de ces deux géants du football. Emporté par un véritable tourbillon médiatique, le jeune attaquant de 18 ans allait faire « le choix du coeur » en privilégiant la sélection argentine. Quelques mois et une signature à Madrid plus tard, petit retour sur ce jeune espoir qui aurait pu faire le bonheur des Bleus.

Tout débute un soir de Superclasico. L'attaquant de River Plate, encore mineur, claque un doublé face à l'ennemi Boca Junior. Surprise dans le camp français. Ce jeune attaquant inconnu au bataillon est français. Breton plus précisément. Une aubaine pour Raymond Domenech qui prépare sa liste pour le match amical France-Grèce du 15 novembre 2006. Voilà une nouvelle qui tombe à point nommé. Mais coup de théâtre lorsque Gonzalo Higuain refuse la sélection tricolore. Bien qu'elle ne l'engage pas à choisir définitivement sa nationalité, l'attaquant préférerait évoluer sous les couleurs Albiceleste.
Véritable séisme dans le petit monde des bleus, la sélection puis le refus d'Higuain font rapidement le tour du monde. Profitant d'une notoriété aussi soudaine qu'inespérée, il signe durant le mercato au Real de Madrid. Depuis son transfert, l'épiphénomène Higuain est retombé comme un soufflé.

Jugée éphémère par les uns, fulgurante par les autres, l'ascension du jeune Gonzalo n'a, en croire les évènements, rien d'un simple effet de mode. Un an plus tard, celui qui aurait pu suivre l'itinéraire de David Trézéguet est toujours là, dans les rangs d'un des plus puissants clubs du monde.
Titulaire à dix-neuf reprises, l'an passé, sous les couleurs madrilènes, l'Argentin doit faire face à une concurrence féroce. Outre l'expérimenté Ruud Van Nillsterooy et l'emblématique Raul, la Maison-Blanche compte aussi dans ses rangs quelques pépites pleines de promesses. Ainsi, cette saison semble être enfin la bonne pour le Brésilien Robinho (voir Robinho : "mon rêve est d'être le meilleur" - 29/10/2007). Qualifié de meilleur joueur du monde par le directeur sportif madrilène, Predrag Mijatovic, l'attaquant auriverde est en plein boom. Enfin, même s'il a besoin de temps pour assimiler totalement les spécificités du football espagnol, l'ex Blues, Arjen Robben, est également un choix possible pour Bernd Schuster à la pointe de l'attaque. De grands noms pour se faire une place au soleil.

Pas de quoi affoler le Brestois qui a déjà trouvé à deux reprises les chemins des filets depuis la reprise. Six apparitions (dont trois titularisations) en neuf journées. Gonzalo Higuain continue son petit bonhomme de chemin. Bien loin, cette fois, du tumulte hexagonal. Et si l'Argentine ne lui a pas encore donné sa chance, nul doute que le Franco-Argentin puisqu'il jouit de la double nationalité-aura tôt ou tard l'occasion de se parer de la célèbre tunique rayée.

L'argent du foot français en 10 chiffres

28/10/2007 21:19
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Salaire d'un footballeur de Ligue 1
En moyenne, un joueur évoluant en Ligue 1 touche 40 000 euros par mois, soit 480 000 euros bruts par an. Ce chiffre cache évidemment de grandes disparités. Les clubs restent très discrets sur les sommes versées à leurs joueurs.

Selon les chiffres du magazine France Football, sur la saison 2005-2006, c'est Fabien Barthez qui pointait en tête des gains de Ligue 1 avec près de 3 millions d'euros annuels versés par l'Olympique de Marseille. Un salaire qu'il a dû nettement réviser à la baisse avec son arrivée à Nantes... Derrière lui figuraient les Lyonnais Juninho (2,76 M€/an), Wiltord (2,65 M€/an), Diarra (2,6 M€/an), Pedretti (2,58 M€/an), les Monégasques Marco Di Vaio (2,4 M€/an), Javier Chevanton (2,1 M€/an)...

En Ligue 2, les salaires s'échelonnent entre 2 015 et 20 000 euros par mois

8 186 311 spectateurs = 130 millions €
Qui a dit que le championnat de France n'était plus attractif ? Malgré la domination de l'Olympique Lyonnais depuis 6 ans, les 20 stades des clubs de Ligue 1 n'ont jamais été aussi pleins que la saison dernière !

Avec plus de 8,1 millions de spectateurs, la Ligue 1 a attiré 5,6 % de personnes supplémentaires par rapport à la saison 2004-2005. Le taux de remplissage a atteint 75 %.

Les revenus de billetterie sont ainsi passés de 105,7 millions d'euros en 2003-2004 à plus de 130 millions pour 2005-2006.
Des maillots entre 850 000 et 9 millions d'euros
Pour que sa marque figure sur le maillot d'un club "phare" de Ligue 1, une entreprise doit compter au minimum 6 millions d'euros par an. Par club "phare", on entend l'Olympique Lyonnais, le PSG, l'Olympique de Marseille, les Girondins de Bordeaux... En résumé, des clubs au palmarès important. Pour les clubs qui sont depuis moins longtemps en Ligue 1 ou qui ont une image de marque moins affirmée, le ticket d'entrée pour un sponsor est de 850 000 euros.

Actuellement, le maillot le plus cher de Ligue 1 est celui (oh surprise !) de Lyon. En 2006, le club a signé un partenariat le liant pour 5 ans au groupe hôtelier Accor. Celui-ci versera 9 millions d'euros par an : 6 millions par an pour que "Novotel" figure sur les maillots de l'OL à domicile et 3 millions pour "Ticket Restaurant" (à l'extérieur).

Un partenaire majeur de la Coupe de France devra débourser environ 4 millions d'euros pour être présent sur les maillots. Concernant la Coupe de la Ligue, le montant serait d'environ 2,5 millions.
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